Sparrmannia
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Description. – Taille : 12 à 25 mm. Corps massif, assez court, ovalaire. Avant-corps fortement villeux. Dessus brun jaune à brun foncé.
Clypéus bien transverse, à côtés courts, droits ou arrondis ; bord antérieur variable, assez droit, le plus souvent échancré en son milieu ; disque concave et côtés relevés. Sillon clypéo-frontal marqué, non caréné. Canthus oculaire présent. Yeux forts. Front plus ponctué et à pilosité plus abondante que le clypéus. Pas de carène frontale. Clypéus et front alignés sur le même plan.
Antennes de 10 articles ; le III très allongé. Massue assez courte de 7 articles. Dernier article des palpes maxillaires fort, souvent dilaté, excavé sur le dessus. Labre large, aplati, fortement bilobé à son apex. Palpes labiaux de 3 articles, insérés latéralement.
Pronotum bien transverse à marge antérieure rebordée, avec un ourlet membraneux ; côtés arrondis vers leur base, convergents en partie antérieure, bien ciliés ; angles antérieurs plus ou moins saillants. Disque convexe, sans dépression ; à ponctuation serrée et fortement villeux sur toute la surface. Ecusson court, ponctué et cilié.
Elytres larges, à côtés arrondis et élargis avant l’apex ; suture bien rebordée ; pas de côtes élytrales ; calus huméraux saillants. Apex élytral droit, non rentré. Disque à ponctuation espacée ; pilosité faible, courte, espacée, présente surtout sur les côtés. Propygidium important, bien pileux, non couvert par les élytres. Pygidium vertical, aussi ou plus large que long, à ponctuation fine, bien pileux. Métasternum à forte villosité. Ventrites imbriqués les uns dans les autres, bien pileux.
Protibia tridenté ; la dent basale forte ; l’apicale longue et courbe. Un éperon interne important. Protarse allongé à articles non dilatés, sans touffes de soies en dessous ; article I à peine plus long que le II. Griffes des tarses égales, bien courbées, avec un denticule apical plus ou moins rapproché de l’apex de la griffe et lui donnant souvent un aspect bifife avec en plus un denticule interne situé près de la base. Mésotibia allongé, avec une carène transverse entière ou non. Mésotarse long ; l’article I plus long que le II. Métafémur allongé. Métatibia fort, à apex élargi, avec une carène transverse entière ou non. Eperons terminaux inégaux, l’interne plus long et plus fort. Métatarse court, à article I plus long que le II.
Femelle : Forme plus massive et ovalaire. Massue antennaire plus courte et globuleuse. Dents du protibia plus arrondies à l’apex. Métafémur plus fort et ovalaire. Métatibia fort, court, fortement élargi à l’apex. Eperons terminaux forts, dilatés. Méso- et métatarse plus courts.
Sparmannia Castelnau (Laporte de), 1840 : 132.
Leocaeta Dejean, 1833 : 159 (sans description mais avec inclusion de alopex Fabr.).
Lagosterna Dejean, 1833 : 159 (sans description et inclusion d’espèce déjà décrite ; nom de catalogue).
Cephalotrichia Hope, 1837 : 102 (espèce type par monotypie : alopex Fabricius).
Leontochaeta Erichson, 1848 : 653.
Espèce type : Melolontha alopex Fabricius (désignée par Evans, 1989).
28 espèces
Le genre comprend actuellement vingt huit espèces que l’on peut répartir en quatre groupes d’espèces. Les taxons se retrouvent dans les pays suivants : Malawi, Angola, Zambie, Zimbabwe, Botswana, Namibie, Afrique du Sud avec le plus grand nombre d’espèces en Afrique du Sud.
L’Afrique du Sud a 20 espèces dont 12 endémiques, 4 communes avec la Namibie et 4 à plus large répartition. La Namibie héberge 11 espèces dont 3 endémiques, 4 communes avec l’Afrique du Sud et 4 à plus large répartition. Le Botswana a 4 espèces, non endémiques. La Zambie n’a qu’une espèce, endémique. L’Angola héberge 3 espèces toutes trois endémiques. Le Zimbabwe (3 sp.), le Malawi (1 sp.) et la Tanzanie (1 sp.) n’ont pas d’endémiques.
transvaalica
distincta
similis
Clé de détermination des groupes d’espèces
1.- Labre distinctement séparé du clypéus 2
— Labre accolé au clypéus groupe I
2-. Métatibia incomplètement caréné, spineux sur les côtés 3
— Métatibia avec une carène transverse complète groupe II
3.- Côtés et bord antérieur du clypéus formant un arrondi entre eux ; pronotum à dense villosité laissant invisible le tégument ; élytres faiblement ponctués groupe III
— Côtés et bord antérieur du clypéus formant un angle vif entre eux ; pronotum moyennement villeux, laissant voir par endroits le tégument ; élytres bien ponctués groupe IV
Groupe I (super espèce flavofasciata) : flavofasciata (Burmeister), bechuana Péringuey, angola Evans, prieska Péringuey, tridactyla Evans, acicularis Evans, fusciventris (Boheman), falcata Evans, ursina Evans, peringueyi Evans, namaqua Péringuey, gonaqua Péringuey, boschimana Péringuey.
Groupe II (super espèce transvaalica) : transvaalica Péringuey, pseudotransvaalica Evans.
Groupe III (super espèce alopex) : capicola Péringuey, alopex (Fabricius), flava Arrow, similis Arrow, vicina Evans.
Groupe IV (super espèce distincta) : dekindti Nonfried, distincta Péringuey, werneri Lacroix, discrepans Péringuey, namibia Evans, obscura Evans.
Les taxons crinicollis (Burmeister) et leo (Gyllenhall) ne sont pas compris dans ces tableaux (considérés comme Incertae Sedis dans l’étude de Evans, 1989).
Groupe I
1.- Pronotum noir ; élytres bicolores, soit marginés de noir, soit avec des bandes transverses noires 2
— Pronotum brun ; élytres unicolores, quelquefois avec les marges plus assombries, jamais noires 3
2.- Elytres avec des bandes transverses noires basale et apicale, transverses brun jaune en position médiane ; premier article de la massue ¾ aussi long que le deuxième ; pygidium de la femelle convexe ; 14-18 mm ; Afrique du sud flavofasciata
— Elytres jaune pâle avec les marges et la suture foncées ; premier article de la massue moitié moins long que le deuxième ; pygidium de la femelle avec une impression vers l’apex ; 12-14 mm ; Namibie ; Nord Cape prov. bechuana
3.- Bord antérieur du clypéus incisé en son milieu 4
— Bord antérieur du clypéus entier ou faiblement émarginé 5
4.- Labre allongé, fortement incisé à son apex ; griffes du protarse du mâle bifides ; Angola angola
— Labre court, peu incisé à son apex ; griffes du protarse du mâle simples ; Cape prov. prieska
5.- Griffes du protarse du mâle inégales, l’externe dentée, l’interne bifide ; Namibie, Afrique du Sud tridactyla
— Griffes du protarse du mâle égales, soit dentées soit bifides 6
6.- Apex du métatibia avec une ponctuation sétigère tout le long de la marge externe 7
— Apex du métatibia sans ponctuation sétigère le long de la marge externe 10
7.- Carène transverse du métatibia droite 8
— Carène transverse du métatibia sinuée 9
8.- Griffes du protarse mâle dentées ; Botswana ; Namibie ; N. Cape prov. acicularis
— Griffes du protarse mâle bifides ; Transvaal fusciventris
9.- Paramères à apex étroit, fortement allongé en pointe ; Afrique du Sud falcata
— Paramères à apex court, non allongé en pointe ; Namibie, Afrique du Sud ursina
10.- Apex du métatibia sans ponctuation sétigère ; Namibie peringueyi
— Apex du métatibia avec une ponctuation sétigère 11
11.- Paramères allongés ; Namibie ; Cape prov. boschimana
— Paramères courts 12
12.- Griffes du protarse mâle avec la dent basale forte ; paramères élargis et massifs ; Cape prov. namaqua
— Griffes du protarse mâle avec la dent basale fine et courte ; paramères courts et fins ; Namibie ; Cape prov. gonaqua
Groupe II
1.- Bord antérieur du clypéus avec l’incision médiane anguleuse ; carène transverse du métatibia droite ; points sétigères de l’apex du métatibia contigus ; Botswana, Namibie, Zimbabwe, Afrique du Sud transvaalica
— Bord antérieur du clypéus avec l’incision médiane mousse ; carène transverse du métatibia sinueuse ; points sétigères de l’apex du métatibia séparés ; Afrique du Sud pseudotransvaalica
Groupe III
1.- Griffes du protarse mâle bifides 2
— Griffes du protarse mâle avec une petite dent basale ; Afrique du Sud capicola
2.- Griffes du protarse mâle avec la dent supérieure égale à l’inférieure ; élytres brun foncé ; Province du Cap alopex
— Griffes du protarse mâle avec la dent inférieure plus longue que la supérieure ; élytres d’un brun jaune plus ou moins pâle 3
3.- Paramères avec une apophyse basale ; Afrique du Sud flava
— Paramères sans apophyse basale 4
4.- Paramères à apex allongé, prolongé en pointe ; Namibie similis
— Paramères à apex court, arrondi ; Angola vicina
Groupe IV
1.- Griffes du protarse mâle bifides ; Angola dekindti
— Griffes du protarse mâle dentées 2
2.- Côtés du clypéus arrondis ; Afrique du Sud distincta
— Côtés du clypéus anguleux 3
3.- Paramères courts ; côtés du clypéus bien anguleux 4
— Paramères plus allongés ; côtés du clypéus peu anguleux 5
4.- Griffes du protarse mâle avec la dent interne assez proche de la dent apicale ; côtés du clypéus moyennement anguleux ; paramères à apex aigu ; Malawi ; Zimbabwe ; Botswana discrepans
— Griffes du protarse mâle avec la dent interne en position médiane ; côtés du clypéus fortement anguleux ; paramères à apex arrondi ; Zambie werneri
5.- Griffes du protarse mâle avec la dent interne longue et éloignée de la base, rapprochée de l’apicale ; paramères allongés et fins ; Namibie namibia
— Griffes du protarse mâle avec la dent interne assez courte, en position basale ; paramères courts et épais ; Transvaal obscura
Historique du genre Sparrmannia
1.– 1771 : Pallas décrit Scarabaeus vertumnus dans son ouvrage « Reise durch verschiedene Provinzen des Russischen Reiches » édité à St. Petersburg. Le taxon vertumnus appartiendrait sans doute aux genres Amphimallon ou Rhizotrogus, en considération de son indication de provenance.
2.– 1787 : Fabricius, dans « Mantissa Insectorum » tome 1 (page 19), décrit Melolontha alopex et indique comme habitat : Cap. Bon. Spei Dom. Lund. Par la suite, dans ses ouvrages « Entomologia systematica » (1792) et « Systema eleutheratorum » (1801), il identifie Scarabaeus vertumnus Pallas avec Melolontha allopex. Les indications de provenance sont « Habitat in Africa. Mus. Gyllenh. »
3.– 1817 : Gyllenhall, in Synonymiam Insectorum de Schönherr (Appendix, page 69) décrit Melolontha Leo, différent de M. alopex.
4.– 1833 : Dejean (page 159) cite Leocaeta Dejean avec l’espèce Alopex Fabr. du « Cap. Bon. Sp. » et Lagosterna Dejean avec l’espèce Flavofasciata Dej. du « Cap. Bon. Sp. ».
5.– 1836 : Dejean (page 176), dans la troisième édition de son Catalogue, reprend sans changement les mêmes citations.
6.– 1837 : Hope décrit le genre Cephalotrichia Kirby avec comme espèce-type nommée Melolontha Alopex Fab. Deux autres espèces sont citées : Mel. Crinicollis Hope et 2-fasciata Hope, comme appartenant au genre.
7.– 1840 : Castelnau (Laporte de), dans son « Histoire naturelle des Insectes Coléoptères », tome deuxième (pages 131 et 132), classe parmi les Melolontha les deux taxons alopex Fabr. et brunnipennis n. sp. très voisin du précédent d’après l’auteur. Il indique (page 132) que ces deux espèces peuvent former une « coupe » particulière : Sparmannia, caractérisée par les crochets des tarses. De plus, en note (p. 131), il fait connaître Platyonix Palpalis nommé ainsi par Reiche mais, le nom générique étant déjà employé, changé en Sebaris et accompagné d’une description.
8.– 1848 : Erichson, dans son introduction aux Melolonthidae (pages 653 à 655), décrit un certain nombre de nouveaux genres, sans citation d’espèces, dont Leontochaeta proche de Lagosterna Dej. (page 653, différence sur le nombre d’articles à la massue). En page suivante, il considère les genres Leocaeta Dej., Cephalotrichia Hope et Sparmannia Lap. comme des synonymes mineurs de son nouveau genre.
9.– 1851 : Blanchard, dans son « catalogue de la collection entomologique », accorde la préférence à Sparmannia Lap. de Cast. Il place en synonymie le genre Cephalotrichia Hope, ignore le genre Leontochaeta Erichson et cite le taxon Alopex Fabr. avec Sc. vertumnus Pallas en synonymie.
10.– 1855 : Burmeister reconnaît deux genres : Leontochaeta Erichs. et Cephalotrichia Hope. Pour lui, Leocaeta et Lachnosterna Dej., Sparmannia et Sebaris Lap. sont des synonymes de Leontochaeta. Il inclut dans ce genre les taxons Alopex Fabr. (Mel. brunnipennis Laporte décrit comme Sebaris palpalis et n’étant qu’une variété), leo Schneid. Schönh. et flavo-fasciata Dej. L’auteur reprend les caractères émis par Erichson pour le genre Cephalotrichia Hope avec comme espèce le taxon crinicollis Hope. Il indique ignorer Mel. bifasciata Hope.
11.– 1856 : Lacordaire donne privilège à Leontochaeta Erichs et place en synonymie les genres Leocoeta Dej., Cephalotrichia Hope et Sparmannia Casteln., genre selon lui mal défini. Il conserve le genre Lagosterna Dejean (avec le taxon flavofasciata Dej.) qu’il considère proche de Leontochaeta. Il considère Melolontha alopex Fabricius comme le type du genre Leontochaeta et cite Melolontha brunnipennis Casteln. en exprimant son doute sur la validité de ce taxon (simple variété).
12.– 1857 : Boheman, dans « Insecta Caffrariae » (page 80), décrit Leontochaeta fusciventris n. sp. du fleuve Limpopo.
13.– 1869 : Le « Catalogus Coleopterorum » de Gemminger & Harold rétablit le genre Sparmannia amendé en Sparrmannia. Les taxons Lagosterna Dej., Leocaeta Dej. et Leontochaeta Erichs. sont considérés comme des synonymes. Cinq espèces sont incluses dans le genre : alopex Fabr. (= Vertumnus Pallas et var. brunnipennis Casteln.), flavofasciata Burm., fusciventris Bohem., gorilla Gerstäck. (= alopex Casteln.), leo Gyllenh. (= alopex var. Schönh.). Rétablissement également du genre Cephalotrichia Hope avec les taxons bifasciata et crinicollis Hope.
14.– 1871 : Harold, dans son article « Commentaires et notes sur le Catalogus Coleopterorum » (page 116), indique que le nom plus ancien de S. Vertumnus Pallas (1771) a priorité sur Sparmannia alopex Fabr. (1787).
15.– 1888 : Péringuey décrit Sparmannia distincta n. sp. (page 103) de Rustenburg, Transvaal.
16.– 1904 : Péringuey suit Gemminger & Harold en ce qui concerne le genre Sparrmannia, avec Leontochaeta comme synonyme mineur mais par contre ne reconnaît pas la validité du taxon Cephalotrichia Hope. Sa description du genre Sparrmannia est longue et précise et se poursuit par des indications sur la biologie des espèces. Il décrit treize espèces dont huit nouvelles : transvaalica, capicola, prieska, namaqua, boschimana, gonaqua, discrepans et bechuana. Les taxons alopex Fabr. et brunnipennis Casteln. sont synonymes mineurs de vertumnus Pall. et l’auteur avoue n’avoir pas vu d’exemplaire de Sparrmannia leo Gyllenhall. Les taxons bifasciata et crinicollis Hope sont ignorés.
17.– 1906 : Nonfried décrit Spaarmania Dekindti (sic) n. sp. sur un exemplaire d’Angola.
18.– 1913 : Dalla Torre, dans le « Coleopterorum Catalogus », pars 50 (page 291), donne la priorité à Sparrmannia Cast. avec en synonymie les taxons Lagosterna Dej., Leocaeta Dej., Leontochaeta Er. et liste quinze espèces. Le taxon gorilla signalé par Gemminger & Harold est repris avec comme auteur Gerstäcker. Le taxon vertumnus Pallas a priorité sur alopex F.
19.– 1917 : Arrow décrit Sparrmannia flava n. sp. proche de alopex ainsi que similis n. sp. proche de flava. Arrow précise que deux formes avaient auparavant été identifiées, l’une sous le nom de alopex (forme sombre) par Fabricius pour la différencier du vertumnus de Pallas (qui en réalité serait un Rhizotrogus). La forme claire citée par Péringuey (1904) est nommée flava par Arrow.
20.– 1989 : Révision du genre Sparrmannia Laporte par Evans. Les taxons Leocaeta Dejean et Cephalotrichia Hope sont considérés comme des synonymes. Sparrmannia gorilla Gemminger & Harold (non décrit et cité de Gerstäcker sur des exemplaires de Musée), Cephalotrichia bifasciata Hope et C. crinicollis Hope sont mis en nomina nuda. Vingt quatre espèces sont reconnues appartenir au genre dont dix espèces nouvelles : acicularis, angola, falcata, namibia, obscura, peringueyi, pseudotransvaalica, tridactyla, ursina et vicina. Des Lectotypes sont désignés pour les espèces suivantes décrites par Péringuey : transvaalica, gonaqua, boschimana, naamaqua, prieska. Sparrmannia crinicollis (Burmeister), comb. nov. et S. leo Gyllenhall sont placés en Incertae Sedis. Une clé ainsi que la description de toutes les espèces sont présentées.
Evans (page 13) indique qu’il y a deux noms disponibles avant Sparrmannia : Leocaeta Dejean sans description mais avec mention d’une espèce précédemment décrite : alopex Fabricius et Cephalotrichia Hope avec description et indication d’une espèce-type : alopex Fabricius. Selon le Code de Nomenclature (article 12) c’est Leocaeta qui devrait être retenu mais pour des raisons d’intérêt de stabilité nomenclaturale (article 23b) et d’usage, Evans considère que Sparrmannia Laporte devrait être considéré comme valide et Leochaeta, Cephalotrichia placés en synonymie. Evans souligne que alopex désigné comme espèce-type de Cephalotrichia Hope n’a jamais été listé ainsi par les réviseurs postérieurs. Par contre les taxons bifasciata Hope et crinicollis Hope, seulement cités et repris ensuite par différents réviseurs sont considérés comme nomina nuda. Les spécimens correspondants et portant les labels de Hope ont été examinés par Evans et sont identiques aux exemplaires types de flavofasciata Burmeister et capicola Péringuey.
21.– 2004 : Lacroix décrit Sparrmannia werneri n. sp. de Zambie. Ce taxon a été récolté dans la région de Kalomo par Werner et Lizler (27-XI-2003, 2 mâles et 1 femelle).
discrepans
werneri